AUCKLAND, le 23 octobre - Dernier jour de la Coupe du Monde... Aujourd'hui, côté vestiaires s'attarde sur les héros anonymes de cette compétition : les supporters. 

Le chiffre

8891 - C'est le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la finale de la Coupe du Monde de rugby de 1987 qui s'est aussi tenue à l'Eden Park d'Auckland contre la Nouvelle-Zélande et la France. 

La décla :

« On sait ce que ça fait de gagner dans son propre pays, même si c'est moins spécial pour les Néo-Zélandais que ça ne l'a été pour les Sud Africains en 1995. On veut vraiment qu'ils gagnent après la tragédie des tremblements de terre de Christchurch. »
- David Schneider de Johannesburg, pris en photo ci-dessous avec deux amis. Ils assisteront à la finale bien que les Springboks n'y soient pas et supporteront les All Blacks malgré la rivalité historique entre les deux équipes. 

Humour hexagonal

Obélix (à droite) est tombé dans la potion magique quand il était petit. Les Bleus non. Mais où est Panoramix ? 

« Je suis la Résistance ! » clame Didier Souche aux hordes de supporters néo-zélandais (la version moderne des Romains ?) quelque peu interloqués par la verve du Gaulois. « On rentrera avec la Coupe du Monde ! » lance-t-il encore à la cantonade. 

"Obélix" à droite se tient en fier Gaulois.



Bleu, Blanc, Rouge... France ? Mais pour qui peuvent bien être ces supporters ?



Dave Schneider, tout Springbok qu'il est, soutient les All Blacks...



Les supporters néo-zélandais n'imaginent pas leur équipe perdre cette finale



Tout Auckland était vêtu de noir aujourd'hui.

RNS rg/rm/gs/bd